Le You.S. Fresh Air Pressure a commencé à tester la toute nouvelle méthode de rechargement et de transport de motoneiges spécialement développée pour l’avion tiltrotor CV-22 Osprey. La motoneige est probablement considérée comme la cargaison non conventionnelle de l’arsenal de l’aile de fonctions spécifiques CV-22 Osprey, mais à l’heure actuelle, ce style d’automobile exclusive est extrêmement utile pour les interventions chirurgicales militaires secrètes de l’Arctique. Comme le soulignent les récents titres de service, les aviateurs de la 352ème escadrille d’opérations uniques ont posé leur candidature à l’utilisation de la nouvelle technique de lancement et de déplacement de motoneige en Norvège. «Les CV22 que RD exécute un peu avec la motoneige, la recherche et le retrait, en les amenant là où nous en avons besoin, puis en les remettant en place,» a mentionné le 352e chirurgien de l’escadre des procédures chirurgicales exclusives. À l’heure actuelle, les techniciens d’Oxygen Power ont mis au point un nouveau programme de chargement pour aider les procédures de motoneige contenant des tapis en silicone de type cheval, rembourrés au fond de la cabine et reliés à des mousquetons. La dernière technique SLATS permet de charger efficacement et rapidement des motoneiges sur les aéronefs ?? – 22 dans des fonctions rythmées. Les lattes pourraient être un signe que le Pentagone commence à s’intéresser sérieusement aux désaccords sur la souveraineté dans l’Arctique. Créé dans les années 1980 et 90, le V-22 a été créé pour mener à bien diverses missions telles que le transport de troupes et de produits, l’application et la récupération d’unités de procédures chirurgicales exclusives, ainsi que le contrôle et le sauvetage avec une vitesse et une portée supérieures à celles des coptères standard manœuvrabilité que les aéronefs à voilure résolue. Le prototype a été piloté pour la première fois en mars 1989. Le V-22 était temporairement immobilisé après des collisions terminales lors d’essais en mai et décembre 2000. La projection s’est terminée en 2005, et l’avion a obtenu son déploiement de combat initial en Irak avec tout le You. S. Sea Corps en 2007. V-22, également appelé Osprey, avion des forces armées à rotor pendulaire développé par Bell Chopper (une filiale de Textron) et Boeing. Le style et la conception hybrides exclusifs du V-22, qui combinent les options d’un hélicoptère et d’une compagnie aérienne à turbopropulseur, lui permettront de s’éloigner et de monter en hauteur. Une fois en vol, les deux nacelles d’extrémité du V-22, chaque personne disposant d’un groupe électrogène, d’un rotor et d’un rotor de 11 mètres, pivotent 90 diplômes d’un poste au-dessus de la tête à une situation avancée afin de faciliter les opérations vol horizontal. L’aile ainsi que les lames de coupe du rotor se plient pour un stockage compact, permettant à l’avion de courir à partir de navires ou d’aérodromes expéditionnaires. Le V-22 affiche une vitesse de navigation d’environ 444 km (276 km) par heure et un plafond de gestion d’environ 76 000 mètres (25 000 pieds).
En tant que troisième plus grande ville d’Italie, la visite de Naples permet de découvrir de fabuleux monuments et édifices tels que des musées, le Palais des arts ou encore des instituts à l’occasion d’un circuit ou d’un week end. Riche d’un passé très important, Naples fait partie des plus grandes villes d’Europe et profite d’un développement économique et culturel très importants, en marge du tourisme. Sous la domination angevine, Naples devint la capitale du Royaume de Sicile. Au fil des siècles, églises et monastères occupèrent progressivement la ville, présentant des architectures de style baroque très marquées. La ville ainsi que la banlieue se sont admirablement développés, si bien qu’il est difficile d’élever de nouveaux bâtiments, faute de place. Les principaux bureaux ont élu domicile dans le tout dernier quartier aux accents modernes : le centro direzionale. Visiter Naples, c’est découvrir son riche passé en se promenant de musée en musée mais également en découvrant ses nouvelles rues totalement tournées vers le futur. Au fil des décennies, le tourisme a connu une forte croissance, aidé par le développement des moyens de transport particulièrement bien développés.
La route s’élève rapidement dans des paysages incomparables. La SS185 est à la frontière du parc de Nebrodi et des monts Peloritani. La végétation est luxuriante : figuiers de barbarie, mimosas qui couvrent des pans entiers de montagne, odeur subtile des orangers en fleurs. Bref, un plaisir de tous les sens pour ce premier contact avec la terre sicilienne. En fait, s’il fallait résumer la Sicile par une odeur, ça serait la fleur d’oranger. Elle est vraiment omniprésente. Après Novara, alors qu’on redescend vers Castiglione, dans un virage, brutalement on se prend l’Etna en pleine « tronche ». Un vrai choc. Faut dire qu’un géant de 3340 mètres qui fait à peu près 150 kilomètres de circonférence, ça ne passe pas inaperçu. A cette époque de l’année, il est encore encapuchonné de neige. Des fumerolles montent en nuages irréguliers mais le monstre semble plutôt calme. En attendant, nous nous installons à l’hôtel Scrivano où nous resterons trois nuits. La veille au soir, voyage entreprise Rome l’Etna nous avait gratifié d’un panache abondant qui pouvait laisser augurer une activité inhabituelle.
La route du nord n’a rien à voir avec celle du sud. Le nord est verdoyant. On progresse sur une route sinueuse qui traverse des forêts de résineux avant d’arriver dans la zone aride et lunaire des coulées de laves. La route est une vraie piste, le revêtement est nickel, il n’y a pas un chat. Autant dire qu’on peut se lâcher. Bref, une route magique. La route du sud que nous enchainons ensuite est différente, ne serait-ce que parce que le vent y a poussé les nuages de scories qui s’y sont répandues. De ce côté de l’Etna la végétation est plus méditerranéenne. Les villages sont plus nombreux, on monte dans la vigne et les oliviers. Les 15 derniers kilomètres avant Sapienza sont géniaux. 4×4. C’est un vrai luxe de monter sur l’Etna : entre la cabine, la place dans le 4×4 et la présence obligatoire d’un guide, on s’en tire pour 48 euros par personne. A cette époque de l’année, l’Etna est recouvert de neige et les 4×4 progressent sur des pistes improbables enserrées entre des congères de 3 à 4 mètres. La partie supérieure du manteau neigeux est recouverte d’un tapis de cendres volcaniques.